mercredi 5 mars 2014

Les OVNIS dans la Bible : Révélations et Interprétation de la bible...



Les sceptiques ont souvent cet argument: "Si des civilisations extraterrestres visitaient notre planète elles prendraient contact avec nous" Ce que les sceptiques ne savent pas c'est qu'il y a peut être déjà eu des contacts entre l'humanité et ces civilisations. Sauf que les récits de ceux-ci ont été mal interprétés, maquillés, transformés selon les intérêts des époques, et décrits selon avec les mots de l'époque par des personnes qui ne comprenaient pas ce qui arrivait. La bible est une traduction de textes anciens qui dit traduction dit fautes qui dit fautes dit perte de sens et donc incompréhension. Quand on connait l'ufologie et les caractéristiques des ovnis de A à Z on ne peut rester indifférent à la lecture des textes religieux c'est ce que nous vous proposons de faire ici sans tabou.

Peinture de Michel Ange sur plafond de la chapelle Sixtine (1512)

Nous allons maintenant aborder un sujet très très sensible celui de l'étude des textes de la bible et de leur relation avec les phénomènes ovni. Avant toute chose je tiens à faire une mise au point préalable qui permet de clarifier la situation:


1) Comme vous le savez le lien ovni/alien/bible/religion à été ridiculisé, discrédité, utilisé, mystifié par la secte de Rael et compagnie. Le fait de faire des recherches sur le sujet et de présenter cet article peut entraîner des réactions du genre: "si vous dites cela vous êtes un Raelien". Sachez premièrement que je déteste les sectes et surtout celle-ci qui est basée que sur un mensonge. Deuxièmement il faut que vous sachiez que ces théories n'appartiennent pas à cette secte car ils ont plagié sur des livres d'ufologues pour servir leur intérêts détestables! Vous ne voyez pas ce que je veux dire? Vous ne me croyez pas? Voici un article complet pour clarifier les choses vous allez voir comment le gourou de cette secte à copié les théories des ufologues de l'époque! Plagiat de livres sur les ovnis de George Adamski, Jean Sendy et Guy Tarade par Rael L'article sur ce sujet cliquez ici svp.

Déjà, en 1765, Voltaire écrivait, pour l'article GENESE de son dictionnaire Philosophique:

   

"Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. C'est ainsi qu'on a traduit; mais la traduction n'est pas exacte. Il n'y a point d'homme un peu instruit qui ne sache que le texte porte : au commencement, les dieux firent, ou les dieux fit, le ciel et la terre". Les Bibles usuelles d'Occident voient dans ce pluriel un "pluriel de majesté" et traduisent par "Dieu". Les Bibles de L'Eglise Orthodoxe Russe traduisent par "Dieu" ou par "les Anges" selon les versions.

Conclusion cette idée n'est pas du sectaire Rael mais des Philosophes et ufologues qui ce sont penchés sur le sujet ouf. Savoir que cela est une idée de Voltaire et non de R... est un soulagement c'est le moins que l'on puisse dire n'est ce pas?

2) Cet article remet-il l'existence de Dieu en question? Absolument pas! Rassurez-vous, le fait qu'il existe des histoires dans la bible qui concordent avec des observations d'ovnis, de lumière et des contacts avec des "êtres supérieurs" n'a pas pour conséquence la non existence d'un dieu quelconque. Nous pouvons croire en dieu au sens philosophique du terme tout en ayant la certitude de l'existence des ovnis l'un n'empêche pas l'autre. Je tiens également à vous dire que je respecte les croyances des personnes qui vont lire cet article n'y voyez aucune provocations de ma part.

3) Sachez que ces articles sont extraits de diverses sources. Ils ne sont donc  pas de moi. j'ai osé les publier car il m'est apparu nécessaire de les citer. Je ne suis pas du genre à rejeter des éléments du dossier ovni par diplomatie ou conformisme. Cet article s'adresse à tous ceux qui souhaitent être informés réellement sur le sujet qui par son importance ne peut laisser indifférent. J'espère sincèrement m'être fait comprendre, seul la recherche vérité m'intéresse. Pour découvrir la vérité il ne faut pas s'arrêter devant les barrières des idéologies du politiquement correct ou des préjugés.

Maintenant que vous savez que ce sujet est digne d'intérêt et que ces théories proviennent de recherches d'ufologues dans les années 60 et 70 nous pouvons nous concentrer si vous le voulez bien sur le sujet qui nous intéresse. Il s'agit de révélations extraordinaires qui risquent d'avoir un impact énorme à l'avenir. Vous comprenez donc pourquoi il y a tant de secret sur les ovnis car si l'on révèle officiellement l'existence des ovnis la remise en cause de la bible et des dogmes religieux sera l'étape suivante. Autant vous dire que nous abordons un thème qui sera inévitablement abordé dans le futur quoi que l'on puisse en penser.

Le grand Mensonge des religions:


Nous allons vous dévoiler dans cet article quel est le tout grand "secret", celui qui est au plus haut niveau de l'Eglise Catholique, et au plus haut niveau de certains courants francs-maçonniques et Ordres Secrets. Ce secret n'implique bien évidemment pas les personnes du bas de l'échelle, mais ceux qui sont à ses échelons les plus élevés, ceux qui savent, qui possèdent les connaissances secrètes et qui ont à charge de les maintenir secrètes. Il s'agit d'un faible nombre de personnes, sévèrement sélectionnées, "haut placées" dans la société civile, pour la plupart très riches, et souvent même à la tête d'un pays, ou bien "haut placés" au Vatican.

"Ils viennent d'une terre lointaine, des confins des ciels; IHVH-Adonaï avec les engins de son exaspération, pour saboter toute la terre."
(Bible, Isaïe XIII - 4, 5)

"la Bible n'est pas un livre, mais une Bibliothèque, un ensemble de livres nombreux, de genres littéraires disparates, de langues différentes, dont la composition s'étale sur des dizaines de siècles, dont la réunion en bibliothèque et en Bible s'est faite progressivement à partir de plusieurs centres rédactionnels et éditoriaux et pour des motifs politiques et religieux variés. C'est ensuite que chacun de ces livres (du moins dans un très grand nombres de cas) n'a pas été composé en une seule fois, par un seul et même écrivain, mais sur la base de traditions orales éparses et de rédactions partielles de diverses provenances et à coup de multiples réécriture et remaniements complexes remis en chantier sur de longues périodes...."

Nous allons entrer dans un surprenant postulat : "Dieu n'est pas le créateur des cieux et de la terre".

Quinze principales lectures françaises de la Bible, c'est beaucoup ! S'il faut en sélectionner une, il y a l'embarras du choix. S'il faut les comparer et en faire la synthèse, pour qu'elles se complètent au lieu de se contredire, c'est un travail de Bénédictin ! Travail ingrat, qui s'avère pourtant indispensable à une saine approche, et travail irritant, qui montre comment l'hébreu (pour l'Ancien Testament) et le grec (pour le Nouveau Testament), langues très spécifiques des textes bibliques originaux, résistent aux traductions et autorisent de redoutables fantaisies. La lecture de la Bible transcrite en français est donc plus ou moins flottante et incertaine. Elle oblige au jeu aléatoire qui consiste à s'approcher de la vérité en traquant l'erreur. Bon courage !

Dès le départ, on est confronté à ce problème-là, précisément à propos du “ Dieu créateur “. La Bible entre directement dans le vif de son sujet. Son troisième mot est le nom de l'entité centrale et capitale dont elle va abondamment relater les manifestations. Treize versions françaises sont d'accord pour dire que ce nom primordial est : DIEU. Mais la vraie Bible est écrite en hébreu, et c'est en hébreu qu'elle délivre son véritable message. A commencer par le nom autour duquel tout son message gravite et s'articule. Ce nom n'est pas DIEU. C'est ELOHIM.

Examinons le premier verset de la Bible. Pour l'intégrer, sans l'altérer, dans nos structures mentales, qui ne correspondent pas à celles de la culture hébraïque, il faut lui faire subir deux opérations simultanées : transcrire, en lettres latines, sa lecture phonétique, et inverser le sens de lecture droite-gauche en gauche-droite. Voilà ce que cela donne : « Bereshit bara Elohim et ha shamaïm vé et ha éretz » C'est encore de l'hébreu, mais il est occidentalisé dans la forme. En voici la traduction, par Dhorme : « Au commencement Elohim créa les cieux et la terre », et par Chouraqui : « Entête Elohîm créait les ciels et la terre »“.
Contrairement à ce que l'on pourrait croire, le mot DIEU, que l'on trouve ici dans les autres versions, n'est pas la traduction du mot ELOHIM. Un nom propre ne se traduit d'ailleurs jamais. Enlever ELOHIM et le remplacer par DIEU n'est pas innocent. C'est un acte de désinformation !

En Droit, le nom est une appellation propre, un attribut incessible, imprescriptible et protégé, de la personnalité qu'il désigne et identifie. Dans Treize versions françaises sur quinze, l'entité agissante de la Bible est privée du droit, élémentaire et fondamental, d'être identifiée sous son véritable nom. Ce n'est pas correct. Mais ce qui l'est encore moins, c'est que le lecteur de l'une ou l'autre de ces treize versions est privé du droit, lui aussi élémentaire et fondamental, de connaître le véritable nom de l'entité à laquelle il s'intéresse. Il y a tromperie !
Est-ce vraiment si important et si grave ? Après tout, l'entité nommée ELOHIM par les rédacteurs hébreux de la Bible ne peut elle être valablement appelée DIEU par la grosse majorité des traducteurs français de cette même Bible ? Cela ne revient-il pas au même ? Sûrement pas !

On observe avec étonnement que le nom ELOHIM, qui est le plus important de la Bible, est le seul à être radicalement éjecté de la majorité des traductions françaises, alors que la multitude des autres personnages y gardent chacun son nom propre, à peine occidentalisé, dans certains cas, pour en faciliter la prononciation.
Découvrons-nous, en cela, une manipulation dont l'énormité ne se justifierait que par un enjeu non moins considérable ?

En attendant, voilà qui éclaire notre provocant postulat : « Dieu n'est pas le créateur des cieux et de la terre ».. Un postulat étant un principe premier indémontrable et non démontré, le nôtre cesse d'en être un, puisqu'il est démontré, du haut de son ancestrale autorité, par la vraie Bible. En effet, Dieu ne peut pas être le créateur, puisque ce créateur est Elohim. Cette fois, on sort du trou noir : le postulat initial de la Bible est correctement exprimé. Et, s'il reste un scandale, c'est de faire dire, à la Bible, autre chose que ce qu'elle dit.

DIEU : un héritage de bric et de broc.


Le mot DIEU s'est glissé dans la langue française, au IX~ siècle, après avoir fait ses classes en latin. Il était issu d'une famille nombreuse dont le lointain ancêtre, DEI, remontait à une souche indo-européenne. De tout temps, l'ancêtre DEI a exprimé la lumière du soleil et les phénomènes naturels qui s'observent dans et sous le ciel.
L'aîné de cette famille très ancienne est notre mot JOUR. Il s'est modelé pour un usage courant en partant du latin DIURNUS, par l'érosion phonétique de ce mot : DI-OURNOUS, I-OURNOUS, I-OUR, JOUR. L'usage distingué a gardé la forme DIURNE. Dans le même temps, la contraction du mot DIURNUS à sa première syllabe DI, engendrait le latin DIES, qui se traduit aussi par JOUR, et que l'on retrouve dans LUN-DI (jour de la Lune), MAR-DI (jour de Mars), et ainsi de suite pour toute la semaine, comme dans Ml-Dl, QUOTI-DI-EN, MERI-DI-ONAL.
Le second fils de la famille DEI a bénéficié d'une belle promotion. C'est JUPITER, formé de I-OUR et de PATER, le JOUR PERE, autrement dit le JOUR qui, par la lumière du soleil, engendre tout ce qui existe. Plus tard, par une interversion de sens et une extrapolation, le JOUR PERE deviendra le PERE DU JOUR...


Les Romains ont adopté, sous le nom de JUPITER, le ZEUS des Grecs. Dans la foulée, le ZEUS grec, qui se prononçait ZE-OUS, a glissé jusqu'au DEUS latin, prononcé DE-OUS. Et c'est ainsi que, recentré en français sur la racine DI, déjà relevée dans DI-URNUS et Dl-ES, le vocable DIEU a pris naissance du latin DEUS. La racine DI subsiste encore dans le latin DI VUS, qui a donné deux branches françaises : d'une part DEVIN, DEVINER, et d'autre part DIVIN, DIVINITE, avec un retour en boucle sur DIVINATION.

Le DEUS latin est cousin du THEOS grec qui s'est conservé, en français, dans ENTHOUSIASME, PANTHEON, ATHEE, POLYTHEISME, MONOTHEISME, PANTHEISME, APOTHEOSE, THEOLOGIE, THEOCRATIE, THEOSOPHIE... Or, le THEOS grec, qui se veut plus savant que le banal DEUS latin, mais qui a le même sens, se rapporte lui aussi à ZEUS, avec un rappel de la racine grecque THAW, qui signifie CONTEMPLER. Cette racine THAW prolifère dans des mots tels que THEORIE, THEATRE, etc. On peut aisément vérifier tout cela par l'étymologie, une science précieuse qui permet de connaître le sens premier des mots, au moment de leur naissance. En employant le mot THEOS, à l'époque d'Archimède, puis le mot DEUS, à l'époque de Jules César, le Grec et le Romain ne parlaient pas du même sujet que nous, lorsque nous utilisons le mot DIEU. Ils évoquaient la figure allégorique ZEUS-JUPITER qui, par la mythologie, synthétisait les données de l'astronomie de leur temps (tournées plutôt vers l'astrologie) celles des forces de la nature, des saisons et des climats, celles des phénomènes atmosphériques, météorologiques dirions-nous aujourd'hui, le tout localisé globalement dans le CIEL, c'est-à-dire, très prosaïquement, au-dessus de la terre et des hommes.

Mais les anciens ne s'en tenaient pas au niveau des pâquerettes. Leur ZEUS-JUPITER-THEOS-DEUS les amenait à des spéculations intellectuelles et philosophiques. Au IV~ siècle avant Jésus-christ, Aristote, pour ne citer que lui, en a tiré un concept qui a fait fortune. On sait qu'un concept est une abstraction qui n'a pas, en soi, de réalité objective. C'est le pur produit d'un raisonnement. Aristote a pu, ainsi, élaborer la théorie de l'unité de l'univers, et d'un” moteur “, lui aussi unique, de ce grand tout. Mais le brave Aristote a balancé entre la transcendance et l'immanence. Dans le cas de figure de la transcendance, il plaçait son ZEUS-moteur hors de toute compréhension et de toute atteinte, dans l'immuable perfection de l'astronomie et de la géométrie combinées. Dans le cas de l'immanence, il insérait son ZEUS-moteur dans la nature, intrinsèquement, en le confondant avec les lois physiques qui la régissent d'une manière rigoureuse et invariable. Dans les deux cas, le ZEUS idéal d'Aristote restait le grand inconnu.

L'imagination, s'étant mise de la partie sur le vieux fonds Zeus-Jupiter amélioré par le concept d'Aristote puis remodelé par une assimilation mythologique du judaïsme puis du christianisme, a bientôt fait, de l'ancienne figure gréco-latine, le DIEU syncrétique dont nous avons hérité. Un Dieu fourre-tout issu du mélange de plusieurs systèmes idéologiques ou religieux. Un héritage de bric et de broc. Ce Dieu-là est devenu un auguste vieillard à barbe blanche, assis, non plus sur l'Olympe, mais sur quelque strato-cumulus, pour l'éternité, un Père Noël, omniprésent, omniscient, omnipotent, paré de toutes les qualités et de toutes les vertus, incomparable (et par conséquent unique), immatériel et insaisissable (et donc pur esprit), père, créateur et maître d'un monde qu'il administre par les lois physiques naturelles et par les lois morales, bref, l'Etre suprême par excellence.
Cette image s'est infiltrée dans les théologies et les philosophies. Elle s'est même implantée dans la Bible ! Elle s'y est introduite par le biais des traductions. Le vocabulaire gréco-latin, qui a supplanté l'hébreu, portait ce Dieu-là dans ses structures intimes, ses gènes qui (on l'a vu) proviennent d'expressions liées aux éléments... élémentaires. La Bible en est défigurée ! Ou, plus exactement, on lui a donné une figure qui n'est pas la sienne.
Les ornières du langage sont si profondes, que nous ne pouvons, aujourd'hui, évoquer le mystère des causes premières et des fins dernières, sans employer notamment en français, ce vocabulaire d'origine gréco-latine si chargé de significations particulières. Pour échapper à cette imprégnation culturelle, souvent doublée d'un asservissement cultuel, il faudrait renoncer à ce vocabulaire, ou, à défaut, en vérifier systématiquement l'étymologie. Et c'est toute la difficulté des traductions, la Bible tenant, en hébreu, un langage radicalement différent de celui des Grecs et des Romains, et, maintenant, du nôtre. Un langage différent pour raconter une histoire et délivrer un message totalement étrangers à la culture gréco-latine.


Deux siècles avant Jésus-Christ, quand les Septante ont traduit l'Ancien Testament en grec, puis, quatre siècles après Jésus-Christ, quand Jérôme a traduit la Bible en latin, après que le Nouveau Testament fût passé de l'hébreu au grec, le contenu de la Bible a été transvasé dans des langues qui ne correspondaient pas à son génie propre.

Le premier verset de la Bible se lit ainsi dans la Vulgate (traduction latine de Jérôme qui, au xvie siècle, a été réaffirmée texte canonique de l'Eglise catholique): « In principio creavit Deus caelum et terram ».Nous nous éloignons du « Bereshit bara Elohim... » hébreu.

Le latin s'est répandu en Gaule par le moyen de la Vulgate, celle-ci prenant une part déterminante à la formation de la langue française. Ainsi donc nos ancêtres les Gaulois ont-ils appris, du latin de la Vulgate, que Dieu est le créateur. Avec leur nouvelle langue (le français naissant) c'est entré dans leurs structures mentales. Et c'est encore profondément enraciné dans les nôtres.

Dès le départ, Elohim, l'entité essentielle de la vraie Bible, a été, si l'on ose dire, défroquée. On l'a déguisée avec les oripeaux de Zeus-Jupiter-Dieu. C'était la rendre méconnaissable.

ELOHIM un pluriel.., singulier

Représentation étrange ou nous pouvons distinguer la représentation d'un engin en forme de soucoupe avec des hublots et une propulsion en dessous. Ce qu'il est important de souligner c'est qu'a l'intérieur il n'y a pas un dieu mais des dieux.

Le mot hébreu qui nomme l'entité première de la Bible est composé de cinq lettres: aleph, lamed, hé, yod, mem. Après interversion du sens de lecture et transcription en caractères latins, cela donne: ALHIM.

Du Ve au Xe siècle après Jésus-Christ, les Massorètes (des rabbins dépositaires de la tradition ancestrale) ont ajouté, au texte hébreu de la Bible, qui est dépourvu de voyelles, les ponctuations qui en permettent, depuis lors, la vocalisation standard. C'est ainsi que, dans le système massorétique, ALHIM se prononce ELOHIM. Cette prononciation-là est retenue par la langue française tant écrite que parlée. Elle colle parfaitement à l'hébreu.
Le mot ALHIM est formé du radical ALH et du suffixe IM. Le radical ALH se prononce ELOHA, et se contracte dans la forme EL. En hébreu, le suffixe IM marque toujours le pluriel. Le mot ELOHIM est très précisément le pluriel du mot ELOHA, simplifié dans le mot EL. Structurellement ELOHIM signifie donc “les ELOHA” ou “les EL “. Mais, en hébreu, on ne dit ni “les ELOHA” ni “les EL “, on dit tout simplement ELOHIM. C'est si vrai que si l'on dit, en français, “les ELOHIM “, on s'offre un pléonasme... qui a au moins le mérite de souligner le sens que le mot possède en lui-même.

Nous voici donc en présence d'un pluriel qui est incontournable. Ce pluriel n'est pas le fruit de quelque divagation ésotérique plus ou moins sulfureuse. Il est rigoureusement exact, en pleine pâte de l'hébreu, et il est ouvertement connu. Le” Dictionnaire Larousse” (édition de 1965 en trois volumes), pour ne citer que Cet ouvrage tout à fait impartial, mentionne clairement:” Elohim, mot hébreu (...) pluriel de el ou eloha... “Ce pluriel est connu, depuis toujours, par tous ceux qui ont bien voulu prendre l'hébreu en considération. Mais ce pluriel n'est pas accepté.

Il dérange. Il entraîne trop loin au goût de certains. Il est écarté, dans la grosse majorité des traductions, parce qu'il est incompatible avec le concept de monothéisme que l'on prétend tirer de la Bible. ELOHA, EL et ELOHIM sont évacués ensemble au profit de DIEU.

On se débarrasse du problème en feignant de l'ignorer, et on conduit les lecteurs des traductions ainsi édulcorées dans l'ignorance. Le problème, c'est qu'on ne voit pas comment la Bible pourrait inventer le monothéisme en présentant, en son centre, une entité composée de plusieurs individualités, et même d'une multitude d'individualités. Cherchez l'erreur ! Il y a, là, vraiment, un gros écueil...

Essayons, posément, d'aborder la question, en traçant un schéma, qui résulte d'une étude serrée de la Bible, et qui se confirme dans celle-ci, comme nous le constaterons. ELOHIM est un système complexe. Ce système est un groupe d'individualités. Chacune de ces individualités, prise séparément, se nomme ELOHA ou EL. L'ensemble nommé ELOHIM constitue, lui-même, une unité caractérisée (une personne morale) dont les actes se conjuguent au singulier, comme on le voit souvent dans la Bible, à commencer par le Elohim créa... “du début de la Genèse. Chaque individualité (ELOHA ou EL) est étroitement solidaire de chacune des autres en particulier, et de toutes les autres ensemble (ELOHIM). Il y a connivence totale, à tous les niveaux. Au sein d'ELOHIM, chaque ELOHA-EL a une origine, une nature, des moyens, des buts, une destinée identiques à ceux de l'ensemble. Il exprime, représente et engage l'ensemble, au point d'être souvent identifié à lui.

C'est l'unité dans la multiplicité, et la démultiplication de l'unité. Toutes proportions gardées, c'est la France et les Français. A cette différence que, dans le système ELOHA-EL-ELOHIM, la cohésion semble sans failles...
Un ELOHA, un EL, dit le choeur des idées reçues, c'est un “dieu “(avec une minuscule), et ELOHIM, c'est” Dieu” (avec une majuscule). Dans son assimilation hâtive du contenu de la Bible abaissé au niveau de la mythologie, le choeur des idées reçues veut se tirer d'embarras. Mais il omet de préciser ce qui distingue un (petit) dieu du (grand) Dieu. Il ne dit pas davantage comment il passe, des (petits) dieux pris dans leur ensemble, au (grand) Dieu unique... Allons ! Il faut chercher ailleurs.

Les étymologistes ont observé que, dans le creuset indo-européen des langues, où l'hébreu a puisé une part de sa substance, une voyelle suivie de la lettre “ L “indiquait l'objet éloigné ou l'être situé à l'écart, voire à distance. Sur cette base, bien plus tard, le latin ILLE devint notre pronom de la troisième personne IL, et dévia, par le latin ALTER vers AUTRE, et par ULTRA vers OUTRE. Cette troisième personne - qui est L'AUTRE - se confronte au MOI, qui s'affirme par le JE, et au TOI que l'on aborde par le TU.

Le MOI et le TOI ont des relations directes. Ils distinguent, et excluent presque, l'AUTRE, qui ne se situe pas d'emblée dans le cercle de ces relations, parce qu'il est lointain ou/et différent. Si l'on remonte cette piste, ELOHA-EL, c'est L'AUTRE, et, par conséquent, intrinsèquement, ELOHIM, c'est LES AUTRES. Autrement dit, à une époque extrêmement reculée, les hommes ont constaté la présence, sur la Terre, d'une espèce d'êtres qui, pour eux, étaient LES AUTRES. Et c'est alors que les Hébreux ont commencé d'élaborer la Bible, récit de l'expérience privilégiée qu'ils ont eue avec LES AUTRES. Avec ELOHIM... C'est une première réponse à la question: d'où vient la Bible?

Interférences et confusions

Dans le Livre de l'Exode (VI- 2,3), où l'on voit, en Egypte, commencer la libération des Hébreux, on découvre que IHVH, le nom-attribut d'Elohim, a bien été révélé à Moïse, mais qu'il a été précédé par un autre nom-attribut: EL SHADDAI. Lisons la version Dhorme: “Elohim parla à Moïse et lui dit: “Je suis Iahvé ! Je suis apparu à Abraham, à Isaac et à Jacob comme El Shaddaï et par mon nom de Iahvé je n ‘ai pas été connu d'eux “. Lisons aussi Chouraqui: “Elohîm parle (...) Moi, IHVH (surchargé Adonaï) je me suis fait voir (. ..) en El Shaddaï. Mais sous mon nom de IHVH (surchargé Adonaï) je ne me suis pas fait connaître d'eux “. Les versions Osty et de Jérusalem font parler Dieu à la place d'Elohim, mais comme les précédentes, elles respectent le nom “El Shaddaï “qui figure bien dans le texte hébreu.

Ce nom est constitué du radical EL, qui forme par ailleurs ELOHIM, et de l'épithète SHADDAI qui signifie “ montagnes “(au pluriel). Que viennent faire, ici, ces montagnes associées à Elohim? N'est-ce pas une métaphore pour dire qu'Elohim-Montagnes est difficile d'accès, parce qu'il se tient de préférence dans les lieux abrupts et élevés, au propre comme au figuré ? Dans la réalité du texte hébreu non déformé par les traductions, le nom ELOHIM est connoté par la notion de “ lieux élevés “ apportée par l'attribut SHADDAI. Il prend alors un sens élargi : “les Autres, ceux des lieux élevés “. Dix versions françaises ignorent cela en traduisant El Shaddaï par “Dieu tout-puissant “(Maredsous, Darby, Crampon, Synodale, Monde nouveau, Segond, Scofield), “Dieu fort, tout puissant “ (Ostervald), “Dieu puissant “ (T.O.B.), “Divinité souveraine “(Kahn). La version de Jérusalem (une des quatre qui restituent El Shaddaï sans s'autoriser à le traduire) écrit, en note, que “la traduction commune Dieu tout-puissant est inexacte “.

Dans le texte hébreu, la première mention de El Shaddaï figure au Livre de la Genèse (XVII- 1):”... Iahvé apparut à Abram et lui dit: “Je suis El Shaddaï” (version Dhorme). Là-dessus, il transforme le nom d'Abram en Abraham et il établit avec lui et sa future descendance “une alliance perpétuelle “, un des actes fondateurs majeurs parmi les événements que raconte la Bible.

Là, on ne comprend plus ! Normalement, pour ne pas semer la confusion dans le cours du récit, le Bible devrait dire que c'est Elohim qui s'adresse à Abram pour lui déclarer “Je suis El Shaddaï “, comme elle le fait d'ailleurs en Genèse XXXV - 11 où c'est bien Elohim qui dit à Jacob: “Je suis El Shaddaï “. C'est simple : il y a, d'abord, Elohim. Puis, à l'usage d'Abraham Isaac et Jacob, il y a Elohim - El Shaddaï.

Enfin, pour Moïse et la suite, il y a Elohim -IHVH. C'est un étalement chronologique progressif de la révélation. Mais la Bible défie notre logique. Elle mélange allègrement les trois noms de son entité centrale. Veut-on une démonstration formelle de ce genre de manipulation ? Elle est dans le Livre de la Genèse (IV - 26) : Adam et Eve viennent d'être expulsés de l'Eden, et ils procréent. Abel étant mort, Seth prend sa place, et il a un fils, Enosh. “Alors on commença d'invoquer le nom de Iahvé “(version Dhorme). La version de Jérusalem précise que cet Enosh “fut le premier à invoquer le nom de Iahvé “ et la version Chouraqui : "Alors, le nom de IHVH-Adonaï commençait à être crié."

De deux choses l'une : ou bien le nom IHVH était invoqué (et donc connu) dès l'époque adamique, puis au temps d'Abraham, ou bien il n'était pas connu avant d'être révélé, bien des siècles plus tard, à Moïse. La Bible se met ici en contradiction avec ses propres affirmations ("Je me suis fait voir à Abrahâm, à Is'hac et à Ia'acob, en Él Shadaï. Mais sous mon nom, IHVH (surchargé Adonaï), je ne me suis pas fait connaître d'eux."Exode VI - 3 et on peut voir 'Dieu" qui parle à abrahâm dans Genèse XVIII - 14 :"Une parole est-elle singulière pour IHVH (surchargé Adonaï)?"),

. . On ne risque pas de s'en apercevoir si l'on se fie aux traductions, dans lesquelles Elohim, El Shaddaï et IHVH, sont nivelés sous les vocables DIEU, TOUT-PUISSANT, ETERNEL, SEIGNEUR. Enjouant sur ce clavier, les traducteurs portent la confusion à son comble. Ils gomment les interférences très complexes de la Bible. C'est une manière, assez banale, d'éviter les questions embarrassantes.

IHVH est cité (par Dhorme) 149 fois dans l'Ancien Testament AVANT que ce nom soit révélé à Moïse. Il y a manifestement utilisation rétroactive de ce nom dans la rédaction ultime du canon hébreu. On le devrait à une lutte d'influence entre factions Elohiste, Iaviste, Sacerdotale, les trois sources mises en évidence, en 1753, par Jean Astruc, médecin de Louis XV, dans son ouvrage: “Conjectures sur les mémoires originaux dont il paraît que Moïse s'est servi pour composer le livre de la Genèse “. Les rédacteurs de la Bible auraient donc, eux aussi, tenté d'infléchir le message qu'ils entendaient transmettre. Cela ne simplifie rien.

Ce texte est tiré du livre de Roger VIGRERON intitulé "Elohim"

Dieu, ou plus exactement ELOHIM, dans le texte hébreu.

La Bible est, pour les juifs, le livre sacré que Moïse reçut sur le Mont Sinaï des mains de Dieu. Elle relate la manière dont la terre a été " créée ", et ce qui est arrivé, depuis lors, à l'humanité, au fil des générations. Dieu y est toujours présent.

Que signifie donc ce mot que les commentateurs de la Bible nous ont accoutumé à traduire en français par " Dieu ", au singulier, alors que le mot hébreu Elohim est un pluriel. C'est le pluriel de " Eloha " : " celui qui vient du ciel ", " le Céleste ", " l'extraterrestre"

Elohim signifie donc : " ceux qui viennent du ciel ", " les Célestes ", " les extraterrestres (Extérieur à l'atmosphère terrestre, habitant supposé d'une autre planète). "

Parfois le texte hébreu utilise le mot " Adonaï ", à la place de " Elohim ". Et les exégètes de la Bible traduisent encore " adonaï " par Dieu, ou par Seigneur. Ce qui est étrange, c'est que le mot adonaï est, aussi un pluriel ! Il dérive de " adon " : Seigneur.En hébreu, le possessif de adon est au singulier : " adoni " , qui signifie " Monseigneur " ; et le possessif pluriel " adonaï " veut dire " Messeigneurs ".

Il est vraiment curieux que les Hébreux - seul peuple monothéiste de l'antiquité, aient choisi deux pluriels pour désigner leur Dieu Unique !

On nous dit qu'il s'agit de pluriel de majesté. Est-ce absolument certain !
Car le texte en hébreu utilise aussi parfois : " IHVH ", dont les traducteurs ont tiré " Iavéh ", ou encore " Jéhova ". Or, " IHVH " n'est pas un mot en hébreu, mais un sigle comme en français " CFF " ou " SNCF ".

IHVH sont les lettres principales de quatre mots hébreux :

" Aïa, hové, ve iéhié ", I - H - V - H, qui signifient : " Il a été - Il est - Et - Il sera ", c'est le symbole de l'Eternité.
Pour ne pas s'embarrasser de complications, les traducteurs de la Bible,
chrétiens et juifs, nous restituent les trois expressions hébraïques :

" IHVH ", " Adonaï ", " Elohim ",

Sous une forme unique en français :

Dieu

Est-il bien certain que ces trois expressions soient synonymes ?

Une traduction plus précise de la Bible permet d'en douter.

En effet, quand les traducteurs de la Bible nous parlent de " la Genèse ", " de la création ", (que le texte hébreu appelle plus modestement : " beréshit ", " le Commencement ") - ils nous disent :
" La terre était désert et désolation,


L'obscurité régnait sur la face de l'abîme,

Et l'esprit de Dieu planait sur les eaux " (Genèse 1,2)

En hébreu :
Ve ha-arets aïéta tohou va-bohou
Ve toshékhé al-pnéï téhom
Ve rouah Elohim merakhéfet al-pnéï ha-mahim

C'est une très belle image, très poétique, cet esprit de Dieu qui plane sur les eaux…….Mais le texte en hébreu se contente de dire :
"Ve rouah Elohim merakhéfet al-pnéï ha-mahim".

Rouah, c'est le vent ! Et le verbe merakhéfet signifie : trembler, s'agiter. De sorte qu'au lieu de : Et l'esprit de Dieu planait sur les eaux , nous obtenons " Et le vent des Elohim s'agitait sur la surface de l'eau ". On le voit, nous sommes loin du calme d'un esprit immatériel planant à la surface d'une eau tranquille. Il semble bien que nous soyons plutôt en présence d'un objet, (engin, OVNI, Hélicoptère) qui ce déplace dans les airs, et dont le souffle, le vent qu'il provoque, fait s'agiter la surface de l'eau.

On est confondu devant l'acharnement que mettent les exégètes de la Bible, de toutes les confessions, à traduire le mot hébreu " Elohim " qui est un pluriel, par Dieu au singulier, alors que cependant la Bible, dès le début et jusqu'à la fin, ne fait nul mystère de la " pluralité " des Elohim. Lorsque Adam et Eve sont chassés du jardin d'Eden, le Paradis Terrestre, que dit Elohim ?….

Voici l'homme devenu comme l'un de nous ! (Genèse 3, 22).
En hébreu : Hen ha-Adam aya ké akhad miménou !

A qui s'adresse t-il sinon à d'autres Elohim ? Car il n'a pas dit, se parlant à lui-même : Voici l'homme devenu pareil à moi ! Non plus que : …. Pareil à Nous, s'il avait employé le pluriel de majesté. Il a bel et bien dit : …..comme l'un de nous.

Mais il y a mieux !

Trois chapitres à peine plus loin, la bible nous dit : Lorsque les hommes commencèrent d'être nombreux sur la surface de la terre , et que des filles leur furent nées, les " b'néï Elohim " trouvèrent que des filles des hommes leur convenaient et ils prirent pour femmes toutes celles qui leur plurent (Genèse 6, 1-22).

Le texte hébreu dit : " b'néï Elohim ", que la Bible catholique traduit par : les fils de Dieu, la Bible Rabbinat traduit par : les fils de la race divine et la version américaine, du culte protestant, les fils du vrai Dieu. Aucune des trois traductions ne marque le moindre étonnement devant cette mention de fils de Dieu, fils de race divine, ou fils du vrai Dieu, qui apparaît pour la première fois dans le texte sacré. Et c'est, cependant, la première entorse , et de quelle taille, à la thèse du Dieu Un ! Par cette traduction, catholique, juifs et protestants concèdent donc, et comment pourraient-ils faire autrement, que ce qu'ils ont eu tort de traduire par Dieu, et qui en hébreu, s'appellent Elohim, n'est pas seul et unique de son espèce.

IL y a - nous avons vu -, des Elohim, des fils d'Elohim, et donc aussi des femmes d'Elohim. Les Elohim s'accouplent et donnent naissance à des enfants. Mieux encore ! Les Elohim, les fils d'Elohim, ne sont pas insensibles à la beauté des filles des hommes, ce qui prouve que leurs goûts sont semblables aux nôtres ! Et les accouplements entre les Elohim et les femmes de notre planète sont possibles, nous dit la bible, et sans aucun doute féconds. La plupart des religions de l'antiquité mentionnent, d'ailleurs, expressément l'existence de ces demi-dieux, fils d'une femme fécondée par un Eloha.

De la pluralité des Elohim, la Bible nous donne bien d'autres exemples. Entre autres, lorsqu'elle nous raconte l'entrevue entre Avram et les Elohim venus détruire Sodome :

Avram était assis à l'entrée de sa tente au plus chaud de la journée. Levant les yeux il vit trois hommes (Shelosha anashim). Il courut à eux et se prosterna contre terre. Et il dit : Adonaï (Messeigneurs), si j'ai trouvé grâce à tes yeux, ne passe pas ainsi devant ton serviteur ! Qu'on aille chercher un peu d'eau. Lavez vos pieds et reposez-vous sous cet arbre……(Genèse 18, 1-4).

Comme on a pu s'en rendre compte à la lecture de ce passage les Elohim sont trois : Et Avram ne s'y trompe pas ! Ce sont bien des Elohim. Il se prosterne devant eux et les appelle Adonaï, Messeigneurs. Mes Avram considère les trois personnages comme une seule et même entité, il tutoie l'ensemble ou vouvoie le groupe indifféremment.

Toutefois, ces Elohim, ces extraterrestres, que la bible a même appelés " anashim, homme ", ne sont pas de purs esprits. Après une longue marche ils ont besoin de se rafraîchir les pieds (on marche en sandales à l'époque biblique), ils aspirent à se reposer et à se restaurer.

Car Avram ajoute :

Je vais apporter du pain, vous réparerez vos forces : Et faisant bonne mesure, en plus du pain, il fait préparer pour ses hôtes un veau tendre et gras, des gâteaux, de la crème et du lait : (Genèse 18, 5-8). A t'on jamais vu Dieu sensible aux nourritures terrestres et à la fatigue d'une longue marche ?

Encore quelques chapitres, et la bible nous décrit la petit fils d'Avram, Jacob, fils d'Isaac, assoupi. Il voit une échelle plantée en terre dont le sommet atteignait le ciel.

Et qu'aperçoit-il sur cette échelle ? des Elohim qui montent et qui descendent. (Genèse 28, 2-3) Nous devons admettre qu'il y a dans la bible, d'une part IHVH, le Dieu Un, Immatériel et Incréé,et d'autre part, les Elohim, les Célestes, les venus du ciel, les extraterrestres, dont la pluralité est affirmée par le texte sacré lui-même.

« II pleuvait encore, vers 13 heures, lorsque les trois enfants arrivèrent, à l’endroit où avaient eu lieu les apparitions. Vers 13h30 là où se trouvèrent les enfants, une colonne de fumée, déliée, ténue et bleutée, qui monta droit jusqu 'à deux mètres peut-être et s'évanouit à cette hauteur. Le phénomène se dissipa au bout de quelques secondes puis se reproduisit une deuxième fois, et une troisième fois. Il n'y avait pas de feu, puis vers 14h00 la foule dirigea le regard vers le ciel, en direction du Soleil qui avait rompu la dense couche de nuages, je me tournai vers cet "aimant" qui attirait tous les yeux et je pus le voir semblable à un disque au bord net et à l’arête vive, lumineux et brillant, mais sans fatigue pour les yeux. Il apparaissait comme un disque plat et poli, taillé de nacre d'une coquille. Il ne ressemblait pas non plus à un soleil contemplé à travers le brouillard, il n'y en avait pas à ce moment-là, car il n 'était ni obscurci, ni diffus, ni voilé, il se dessinait nettement avec un bord taillé en arête comme une planche à jeux. Ce disque nacré avait le vertige du mouvement [rotation sur soi-même].

Ce n'était pas simplement le scintillement d'un astre plein de vie, il tournait sur lui-même à une grande vitesse. De nouveau, on entendit une clameur de la foule, comme un grand cri d'angoisse, conservant la rapidité de sa rotation, le Soleil se détache du firmament, et, rouge sang, avance vers la Terre, menaçant de nous écraser sous le poids de son immense masse ignée. Ce furent des secondes terrifiantes. M'occupant de fixer ce Soleil, je remarquai que tout s'obscurcissait autour de moi. Je regardai ce qui était près, puis j'allongeai la vue jusqu'à l’extrême horizon, et je vis tout couleur d'améthyste. Les objets, le ciel et la couche atmosphérique avaient tous la même couleur. Un grand chêne violacé qui s'élevait devant moi, lançait sur le sol une ombre épaisse. A d'autres il incombe d'expliquer ceci. »
D'autres documents officiels de témoignages permettent d'affirmer que ce grand disque volant fut aperçu par des personnes se situant à 4 et 5 kilomètres de là et qui ne partageaient nullement les émotions et les attentes de la foule sur place à la Cova de Iria :

« Je regardais fixement l'astre, il me paraissait pâle et privé de son éblouissante clarté ; il semblait un globe de neige tournant sur lui-même. Puis tout à coup il parut descendre en zigzag, menaçant de tomber sur la terre. »

En analysant bien ces descriptions, on ne peut que convenir, en toute honnêteté intellectuelle, à l'abri de tout conditionnement religieux, qu'il s'agit ici d'un engin sous forme de disque, de soucoupe, de sphère, d'une forme discoïde, voir un peu ovoïde, évoluant d'une façon variable au-dessus de la foule, montrant toutes les caractéristiques de ce qu'on appelle de nos jours un OVNI, une soucoupe volante ! Il y a tout ce qu'il faut dans les descriptions : les changements de couleurs brusques donnant l'aspect d'une boule de feu, les effets lumineux rayonnants, une lumière non-éblouissante, une rotation à grande vitesse, le silence de l'engin (pas de bruits de moteurs), des apparitions et disparitions soudaines. Tout ceci est très caractéristique de tous les témoignages oculaires d'OVNIs contemporains. Que cela plaise ou non, c'est un fait. Et l'Eglise le sait, et à haut niveau dans les sociétés secrètes maçonniques on le sait aussi.

Alors, pourquoi donc cette obstination à cacher tout cela, à ne pas révéler ces choses qu'ils connaissent ? Pourquoi ? Pourquoi leur quête effrénée de pouvoir ? Pourquoi leur recherche incessante de richesse monétaire afin, pour certains courants maçonniques, de dominer le monde ? Qu'est-ce qui anime ces sociétés secrètes particulières où les choses tournent toujours autour de l'argent et du pouvoir ? Pourquoi ? Qu'est-ce qui est devenu, à leurs yeux, plus important que la Vérité elle-même ? Et qu'est-ce qui a pu les motiver à un point tel qu'ils aillent à contre-courant de la Vérité ? Pour le Vatican, on peut aisément comprendre, il a depuis le début été bâti sur le mensonge et s'est développé dans le mensonge; il ne veut pas perdre son pouvoir, ce suprême pouvoir pour lequel il a toujours œuvré et qui est la véritable mission qu'il s'est donnée, son objectif de tous les temps... pour lui rien n'a changé. Mais, dans le cas de ces loges maçonniques particulières, on comprend moins pourquoi cette obstination entêtée ?

Personnellement, je n'ai que deux hypothèses à formuler pour répondre à cela. Ces hypothèses je les assume, tout en étant conscient que je peux me tromper. Mais, des différentes pistes que m'ont fait emprunter mes recherches pour essayer de comprendre, le chemin qui m'a mené à ces hypothèses-là, est celui qui me paraît le plus logique, le plus évident, tout en admettant, je le redis, une possibilité d'erreur de ma part. C'est pour cela que je ne parle que d'hypothèses ; elles émanent des cogitations de mon cerveau, mais, même à titre personnel, rien que pour moi-même, je les considérerai dans mon esprit comme pures hypothèses, aussi longtemps qu'il n'y aura pas davantage d'indices solides allant dans le sens que je vais évoquer.

Dans la Genèse, XXVIII, se trouve une autre description de la présence d'un engin

" Une échelle était dressée par terre, sa tête touchant aux cieux, et voici que des Anges d'Elohim montaient et descendaient sur elle". (Genèse, XXVIII-12)

Dans l'Exode Elohim parle à Moïse :

" L'Ange de Iahvé lui apparut dans une flamme de feu, du milieu d'un buisson (...) le buisson était embrasé par le feu, mais il n'était pas dévoré !". (Exode, III-2)

L'Exode :

" Or Iahvé marchait au-devant d'eux, le jour en colonne de nuée pour les guider sur la route, et la nuit en colonne de feu pour les éclairer en sorte qu'ils marchent jour et nuit". (Exode, XIII-21)


" (…) l'aspect de la gloire de Iahvé était comme un feu dévorant au sommet de la montagne (...)" (Exode, XXIV-17) Vous avez là la description de la "gloire", l'engin volant en réalité, des créateurs et comme vous avez pu le lire ou le voir pour certain, au moment du départ l'ovni prend une coloration semblable à celle d'un feu.

"Quand Iahvé fit monter Elie aux cieux dans un tourbillon (...)". (Il Rois, II-1)
" (...) voici qu'un char de feu et des chevaux de feu s'interposèrent entre eux deux (entre Elie et Elisée) : Elie monta aux cieux dans le tourbillon". (Il Rois, II-11)

C'est le décollage d'un engin volant et le feu des tuyères fait que le narrateur parle de chevaux de feu. Si aujourd'hui vous prenez des primitifs d'Amérique du Sud ou d'Afrique noire et que vous les faites assister au décollage d'une fusée, ils parlent de char de feu et de chevaux de feu en revenant dans leurs tribus, incapables de comprendre, même en gros, les phénomènes scientifiques d'une façon rationnelle et voyant en cela du surnaturel, du mystique et du Divin....

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